Orochimaru était dans le palais caché du Rizukage, la ou lui seul à accès, ces hommes s'entraîne à longueur de journée dans des salles pour seul but d'honorer les plan de leur leader plein de haine et d'ambition. Celui-ci est assit seul dans une grande salle sombre est froide, assis sur son "trône" attendant que une une idée comme un serpent attend sa proie pendant des heures, des jours, des semaines ou des mois. Ce serpent au sang froid qui est resté la silencieux, sans chasser et sans ce nourrir pendant des mois, il attend l'occasion de prendre plus de contrôle pour pouvoir soulager sa faim insatiable de pouvoir et de sang. Il repensait à tous ces plans qui avait échoué, la destruction de konoha, la perte de Sasuke maintenant dans la nature et de la perte des quatre ou plutôt des cinq du sons. En plus son assistant, son bras droit, son élève, Kabuto est absent pendant encore un bon moment. Le maître, la bête s'ennuie, elle a faim, elle doit absolument se rassasié et accomplir son objectif principal. Mais cette objectif il aurait pu l'accomplir depuis bien longtemps, mais il a glissé entre ces doigts, il a disparu tel une ombre. Cette chose dont il rêve jour et nuit, ce faucon qui a failli le tuer la dernière fois, cette perle rare que tous le monde recherche...
Sasuke...
Dit il lentement d'une voix presque inaudible, ce mot qui lui aussi c'est échappé d'une pensé pleine de désespoir et de haine, dont il ne pouvait pas se sortir de la tête, il tentait d'oublier ceci, mais en vain, son instinct l'oblige à le vouloir, à envier ce qu'il n'a pas, cette sensation l'oblige à commettre des actes horribles. Mais le plus étranges c'est qu'il ne regrette jamais, oui jamais, il ne regrette rien, il devait le faire ou des fois il ne devait pas, il choisi toujours la solution la plus cruel la plus démuni d'humanité, la plus affreuse. Il ne peut pas s'empêcher d'adorer ça, sa cruauté le rend fort et fier, ce qui le permet d'effrayer ces proies, de leur enlever tout espoir en une quelconque fuite ou autre absurdité du genre, lui le prodige, le prédateur implacable, quand ces yeux se pose sur vous la seul chose que vous voulez faire c'est vous cachez fuir, ou lui donner son âme...
Mais la quelqu'un est entré dans cette salle privé, cette tanière ou vous ne devez jamais entrer, tous ce qui y rentre n'y sort jamais, ou pas vivant, cette homme, cette poussière, ce pauvre fou. Qui entre dans la gueule du serpent, sans plus aucun espoir d'en sortir, sans aucun espoir de survie. Il portait le bandeau de Oto, ce garde de pacotille, cet idiot, il s'arrêta devant son maître, il tenta de dire un mot, mais il dut arrêté sec par un tonnerre, un bruit qui vous sursauter, qui vous fait froid dans le dos, Orochimaru frappa sur sa chaise, puis il lui dit d'une voix glaciale à vous couper littéralement le souffle:
Que veux tu ?
Le garde était comme paralysé, il ne bougeait pas, il ne parlait pas, il était la debout, il est vide. Il ne réfléchit plus, il est terrifié, il est prêt à mourir mais pas en vain. Il reprend un peu de courage, mais il n'arrive pas à regarder Orochimaru dans les yeux, il lui dit d'une voix des plus blanche:
Les hommes n'ont plus confiance en vous...
Orochimaru regarda étrangement ce garde, il ne comprenait pas, il n'y croyais pas, une explosion éclata en lui, la goutte d'eau qui fait déborder le verre. Puis il trouva sa drôle, il commença à rire comme un fou, puis il dit a ce garde qui n'avait pas peur de vexé la "mort" avec un sourire sadique:
Alors je vais vous amener un remplaçant !
Puis il se leva et avança tranquillement vert le garde, puis il posa sa main sur son épaule. Ce geste, un geste si insignifiant, mais si extraordinaire, ce geste que cette homme qui ne voyait cette scène que dans ces pire cauchemar, la vécue en vrais. Orochimaru ne laisserai jamais un homme l'ayant autant manquer de respect ainsi survivre, il lui chuchota lentement à l'oreille, des mots dont le garde n'oubliera jamais:
Maintenant... goutte à mes crocs...
En une fraction de seconde, le garde fut égorgé, mort, tuer par son prédateur, sans pitié, sans regret. Orochimaru laissa se dessiner sur ces lèvres un léger sourire, il se souvient quel sensation sa lui fait de tuer un homme même si ce n'est qu'un pion. Il avait un plan pour devenir plus puissant, il allait l'exécuter, il marcha dans les couloirs sombres en direction de la sortie.
Sam 2 Mai - 22:28